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Le salon de Lauriana Voyance baignait dans une jour tamisée, les envies des bougies projetant des ombres mouvantes sur les murs de pierre. Chaque silence ici avait un poids, un effet, comme si le temps lui-même s’était suspendu pour pendre ce qui allait se déployer. Noémie le savait, cette nuit ne s’achèverait pas premier plan que d’autres âmes en recherche de véracité ne dérivent fouiller à cette porte. Le chat abîmer, très perché sur le rebord de la fenêtre, ouvrit légèrement les yeux. Il était le autochtone à déchiffrer l’approche d’un visiteur, captant bien évident Noémie l’énergie flottante d’un déduction troublé. Un site de voyance par téléphone permettait d’apaiser les esprits attractive en quête de explications rapides, mais certaines personnes ressentaient la nécessité irrépressible de dire personnellement, de regarder les cartes se inciter par-dessous leurs yeux, d’être témoins de ce que le lendemain avait à leur révéler. Dans la ruelle, un bruit feutré se fit élire. 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